Nel grano trasformatosi in papaveri
Avanzavano due palme dell'esilio
Fremevano al vento
Et sotto le due palme dell'esilio
I fragili papaveri
Tessevano le loro scie rosse
Nel grano trasformatosi in papaveri
Noi eravamo
E fremevamo al contatto del vento che
Ci spingeva altrove
Laggiù dove l'altro ritorna a sé
Nel grano trasformatosi in papaveri
Come nel quadro di Monet
I calabroni ci credettero una sola cosa
martedì 22 luglio 2008
Sans Titre-Poésie de Jalel El Gharbi
Dans le blé converti aux coquelicots
Poussaient deux palmiers de l'exil
Ils frémissaient au vent
Et sous le deux palmiers de l'exil
Les freles coquelicots
Tissaient leurs étreintes rouges
Dans le blé converti aux coquelicots
Nous étions
Et frémissions au vent qui
Nous poussait ailleurs
Là où l'autre revient au meme
Dans le blé converi aux coquelicots
Comme chez Monet
Les Frelons nous crurent Un
Poussaient deux palmiers de l'exil
Ils frémissaient au vent
Et sous le deux palmiers de l'exil
Les freles coquelicots
Tissaient leurs étreintes rouges
Dans le blé converti aux coquelicots
Nous étions
Et frémissions au vent qui
Nous poussait ailleurs
Là où l'autre revient au meme
Dans le blé converi aux coquelicots
Comme chez Monet
Les Frelons nous crurent Un
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