Dans le blé converti aux coquelicots
Poussaient deux palmiers de l'exil
Ils frémissaient au vent
Et sous le deux palmiers de l'exil
Les freles coquelicots
Tissaient leurs étreintes rouges
Dans le blé converti aux coquelicots
Nous étions
Et frémissions au vent qui
Nous poussait ailleurs
Là où l'autre revient au meme
Dans le blé converi aux coquelicots
Comme chez Monet
Les Frelons nous crurent Un
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1 commento:
Je suis très heureuse de découvrir ici un poème de Jalel El Gharbi et un recueil de poésie "Urla di disperazione".
Merci
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